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Le direct

Par Kahofi Jischvi SUY, Ndèye Khady LO et Mila Kimbuini

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  1. Appui du gouvernement aux banques en difficulté au Ghana

    Ghana
    Image caption: 400 millions de dollars seront injectés dans le capital des banques en difficulté

    Le gouvernement du Ghana a approuvé une enveloppe de plus de 400 millions de dollars pour soutenir six banques locales sur le point de fermer.

    La Banque centrale du pays avait fixé fin de 2018 comme date limite pour que toutes les banques satisfassent à une exigence minimale d’un capital de plus de 80 millions de dollars au risque de se voir retirer leur licence.

    La Banque centrale du Ghana a annoncé cette nouvelle exigence il y a deux ans dans le cadre de mesures visant à restructurer le secteur bancaire et à protéger les fonds des déposants dans le pays.

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    L’appui financier du gouvernement est donc un effort de dernière minute pour sauver les banques locales considérées comme solvables mais incapables de rassembler le capital minimum nécessaire à leur fonctionnement comme exigé par la banque centrale.

    Dans un communiqué, le ministère des Finances a indiqué qu'il s'agissait de maintenir et de renforcer l'intérêt local pour le secteur bancaire.

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    Les fonds seront prélevés principalement sur les fonds de pension pour être injecté dans les banques locales.

    Mais certaines voix ont remis en question la décision du gouvernement. Le secteur financier du pays a connu des difficultés qui ont conduit à l'effondrement de neuf banques ghanéennes et à la fusion d'autres.

    Elle a réduit le nombre de banques opérant dans le pays : elles sont passées de 36 à 23.

    Les experts du secteur bancaire ghanéen attribuent cette situation à la mauvaise supervision et à la mauvaise gestion.

  2. Des manifestants dispersés à Khartoum

    Soudan
    Image caption: Les manifestants ont tenté de marcher vers le palais présidentiel

    La police soudanaise a dispersé une nouvelle fois, à coups de gaz lacrymogènes, des manifestants qui voulaient marcher vers le palais présidentiel dans la capitale Khartoum.

    Les mêmes scènes de heurts avec les forces de l’ordre ont été observées dans plusieurs autres villes du Soudan.

    Dimanche, de petits groupes de manifestants anti-gouvernementaux se sont rassemblés dans des quartiers du centre-ville de Khartoum au lendemain d'un appel à une marche en direction du palais présidentiel.

    L'Association des Professionnels soudanais, constituée d'enseignants, de médecins et d'ingénieurs, avait appelé samedi ses partisans à se rassembler dimanche pour une marche vers le palais présidentiel.

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    Après la colère liée à la hausse du prix du pain, les manifestants réclament désormais le départ du président soudanais.

    "Nous allons marcher vers le palais dimanche pour appeler le président Béchir à démissionner", avait déclaré l’Association des Professionnels soudanais.

    Pour contrer cette fronde populaire, des soutiens du président soudanais Omar el-Béchir prévoient de tenir mercredi un rassemblement pro-régime dans la capitale Khartoum.

    Le ministre soudanais du Travail, Bahar Idris Abou Garda, a annoncé que ce rassemblement, premier de ce genre depuis le début des manifestations antigouvernementales "exprimera le choix du peuple soudanais et répondra à la crise actuelle".

    Depuis le 19 décembre le pays connaitun mouvement de contestation déclenché par la hausse du prix du pain et d'autres pénuries. Au moins 19 personnes ont été tuées depuis le début de la contestation.

  3. Aucune date avancée pour la publication des résultats en RDC

    RDC
    Image caption: Corneille Nangaa, président de la CENI

    La CENI, Commission électorale nationale indépendante était face à la presse dimanche. Son président Corneille Nangaa dit ne pas pouvoir avancée de date précise à laquelle les résultats provisoires de l’élection du dimanche 30 décembre seront disponibles.

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    Cette élection doit désigner le successeur du président Joseph Kabila, au pouvoir depuis 2001 et qui ne s’est pasprésenté à sa propre succession.

    La publication des résultats devait initialement avoir lieu dimanche 6 janvier, "au plus tard" selon le communiqué de la CENI portant sur le calendrier électoral.

    Mais Corneille Nangaa avait annoncé que la publication des résultats serait reportée à "la semaine prochaine" sans plus précision.

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    La lenteur dans la remontée des résultats dans un contexte national marqué par la coupure d’internet semble expliquer ce retard.

    La CENI dit être "déjà à 53% de compilations des résultats qui sont en cours de traitement". La Conférence épiscopale nationale congolaise (CENCO) qui avait déclaré jeudi connaitre le nom du vainqueur de l'élection présidentielle en République démocratique du Congo, a invité la CENI à publier des résultats conformes à la "vérité" des urnes.

  4. Le camp Kabila annonce la victoire d’Emmanuel Ramazani

    RDC
    Image caption: Emmanuel Ramazani Shadari déclaré vainqueur par la majorité présidentielle

    La Commission électorale nationale indépendante (CENI) n'a annoncé aucune nouvelle date pour la publication des résultats provisoire de l'élection présidentielle en République démocratique du Congo (RDC), initialement prévue ce dimanche.

    Mais déjà, la coalition au pouvoir revendique la victoire de son candidat, l'ex ministre de l'intérieur, Emmanuel Ramazani Shadari.

    "Le favoris de l’élection présidentielle du 30 décembre 2018 en République démocratique du Congo s’appelle Emmanuel Ramazani Shadari. Ceci dit, nous revendiquons la victoire électorale au scrutin présidentiel en faveur d’Emmanuel Ramazani Shadari, candidat numéro 13 à cette élection" souligne Aimé Kilolo, l'un de ses porte-paroles.

    En République démocratique du Congo, les textes électoraux interdisent la publication de résultats autres que ceux de la CENI en charge de l’organisation des élections et de la publication des résultats officiels.

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  5. Heurts entre la police et les partisans de Ravalomana

    Madagascar
    Image caption: Les partisans de Marc Ravalomana dénoncent des fraudes électorales

    A Madagascar les partisans de Marc Ravalomana continuent de dénoncer ce qu'ils considèrent comme des fraudes électorales. Ils ont été dispersés par les forces de maintien de l'ordre samedi lors d'une manifestation.

    Des incidents ont éclaté à Antananarive la capitale malgache lorsque des partisans de Marc Ravalomanana ont fait usage de cocktails Molotov. Ils ont été dispersés à coups de gaz lacrymogènes par les forces de l'ordre.

    Pour la cinquième fois en une semaine, des partisans de Ravalomanane bravent l'interdiction de manifester sur la place centrale du 13-Mai dans lacapitale malgache.

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    L'ex président a été donné perdant à la dernière élection présidentielle du 19 décembre mais ses partisans ont déposé plus de 200 recours.

    Ils contestent les résultats sur la base des allégations de fraudes et exigent l'annulation du vote dans plusieurs circonscriptions électorales.

    Selon les résultats provisoires annoncés par la commission électorale, Andry Rajoelina a battu son rival Marc Ravalomana.

    C'est Mardi que la haute cour va se prononcer sur les résultats définitifs de ce scrutin pour lequel l'ex présidentAndy Rajoel a été proclamé vainqueur.

  6. Un policier égyptien tué en désamorçant une bombe

    Egypte
    Image caption: La police égyptienne empêchant les civils d’approcher du site de l’explosion

    Un policier a été tué alors qu'il tentait de désamorcer une bombe à l'extérieur d'une église chrétienne copte en Égypte indiquent des sources sécuritaires.

    Mustafa Abid, un spécialiste du déminage a perdu la vie lors de l'explosion qui a blessé deux autres agents de sécurité et un civil.

    L'engin explosif était l'un des deux cachés dans un sac sur un toit près de l'église de Nasr City près du Caire.

    A lire aussi : La communauté copte d'Egypte enterre ses morts

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    La découverte de ces deux sacs d’explosif et l’explosion de la bombe intervient deux jours avant la célébration de la Noël copte.

    Environ 10% des égyptiens sont coptes et la majorité estime que l'Etat les discrimine et ne leur offre pas une protection suffisante.

    Aucun groupe n'a encore indiqué être derrière les deux engins explosifs mais les insurgés islamistes ont régulièrement attaqué les coptes dans le passé.

  7. Appel à l’unité après les violences au Burkina Faso

    Burkina Faso
    Image caption: Roch Marc Christian Kaboré lance un appel au "vivre ensemble"

    Le président Roch Marc Christian Kaboré appelle à l'unité nationale après les violences intercommunautaires au Burkina.

    Ces violences ont fait 47 morts le 1er et le 2 janvier dans une attaque d'hommes armés suivie de représailles visant la communauté peule dans le village de Yirgou.

    Lors de sa visite de ce qui reste d’un campement peul saccagé, le président Burkinabé a indiqué que "rien, absolument rien, ne peut justifier cette violence meurtrière".

    Le président burkinabè a assuré que "des dispositions ont été prises pour que la sécurité puisse être renforcée en faveur des populations, pour leur donner l'assurance qu'ils peuvent se réinstaller, qu'ils peuvent recommencer à vivre ensemble".

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    "Le Burkina Faso est un seul peuple. Nous sommes unis et notre pire ennemi c'est le terrorisme. Nous ne pouvons pas faire d'amalgames, nous devons éviter la stigmatisation", a prévenu le président Kaboré, appelant à "l'union" après sa rencontre avec les habitants de Yirgou.

    Comme au Mali, au Niger ou au Nigeria, les tensions dégénèrent périodiquement en violences entre communautés agricoles et Peuls, traditionnellement éleveurs, souvent nomades, présents dans toute l'Afrique de l'Ouest.

  8. Bras de fer entre la CENCO et la CENI en RDC

    RDC
    Image caption: Pour la CENCO le non-respect de la "vérité" pourrait conduire à des tensions

    La Conférence épiscopale nationale congolaise (CENCO), qui a participé à l’observation citoyenne des élections en République démocratique du Congo (RDC), a estimé samedi que la commission électorale porterait la "responsabilité" d'un "soulèvement de la population" si elle n'annonce pas des résultats "conformes à la vérité des urnes" après les élections du 30 décembre.

    A lire aussi : Possible report de la publication des résultats

    La CENCO a indiqué jeudi qu’elle connaissait le nom du vainqueur de l’élection présidentielle en RDC mais s’est gardé de communiquer son identité.

    Elle a invité la CENI (Commission électorale nationale indépendante) à proclamer les résultats conformes à la réalité du scrutin et respectant le verdict des urnes.

    "De ce fait, s'il y a soulèvement de la population, il relèverait de la responsabilité de la CENI", a indiqué Mgr Marcel Utembi qui répondait à un courrier que lui avait adressé vendredi le président de la Commission électorale.

    A lire aussi : La Cenco dit connaitre le nom du vainqueur

    Pour la CENI, la CENCO par son attitude annonce des "tendances" qui sont "de nature à intoxiquer la population en préparant un soulèvement".

    Corneille Nangaa, le président de la CENI avait ajouté que la CENCO "serait seule responsable" des troubles "d'autant qu'elle se fonde sur des données infimes et partielles".

    A lire aussi : Les résultats seront publiés la semaine prochaine en RDC

    La commission électorale en République démocratique du Congo devrait publier une déclaration pour reporter officiellement l'annonce des résultats du scrutin présidentiel de dimanche dernier.

  9. Un Premier ministre originaire d'une région anglophone au Cameroun

    Joseph Dion Ngute est originaire de la région anglophone du Sud-Ouest.
    Image caption: Joseph Dion Ngute est originaire de la région anglophone du Sud-Ouest.

    Joseph Dion Ngute, jusqu'ici ministre chargé de mission à la présidence camerounaise, est originaire de la région anglophone du Sud-Ouest, fief d’une insurrection menée par des indépendantistes anglophones depuis 2017.

    Sa nomination survenue ce vendredi est l’une des premières décisions prises par le président Paul Biya depuis sa réélection en octobre dernier.

    Ce haut fonctionnaire succède à Philemon Yang, qui dirigeait le gouvernement depuis neuf ans.

    Lire aussi:

    Paul Biya décroche un septième mandat

    Arrêt des poursuites contre 289 personnes au Cameroun

    Joseph Dion Ngute, âgé de 64 ans, a été ministre délégué auprès du ministre des Relations extérieures, représentant notamment le Cameroun au Conseil des droits de l'homme de l'ONU, à Genève.

    Il a été directeur de l'Ecole nationale d'administration (Enam) du Cameroun et est membre du comité central du parti présidentiel, le Rassemblement démocratique du peuple camerounais (RDPC).

    Pour mieux comprendre la crise anglophone au Cameroun, regardez cette vidéo:

    Video content

    Video caption: Le Cameroun en crise
  10. Au Burkina, 46 morts dans des heurts

    A droite, Rémi Fulgence Dandjinou, le porte-parole du gouvernement burkinabè
    Image caption: A droite, Rémi Fulgence Dandjinou, le porte-parole du gouvernement burkinabè

    Au moins 46 personnes ont été tuées dans l'attaque suivie de représailles au nord de Ouagadougou, la capitale burkinabè.

    Les heurts sont partis d’une "attaque terroriste" qui a fait sept morts, mardi, selon Rémi Fulgence Dandjinou, ministre de la Communication et porte-parole du gouvernement.

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    En poursuivant les assaillants, des groupes d'autodéfense soutenus par des populations locales se sont attaqués à des membres de la communauté peulh accusés d'avoir hébergé les "terroristes", explique Rémi Fulgence Dandjinou.

    Les affrontements de la localité de Yirgou ont fait 39 morts au sein de la communauté peulh, et sept personnes ont été tuées, parmi les "terroristes".

    C'est un bilan provisoire, car tous les hameaux peulh n'ont pas encore été visités par les enquêteurs, a précisé Rémi Fulgence Dandjinou, affirmant qu’il y a eu des déplacés et des blessés dont le nombre reste à déterminer.

    Deux informations judiciaires ont été ouvertes pour situer les responsabilités, selon les autorités burkinabè.

  11. Des appels à la démission d’El-Béchir

    Des Soudanais protestent contre le régime d'Omar el-Béchir depuis deux semaines.
    Image caption: Des Soudanais protestent contre le régime d'Omar el-Béchir depuis deux semaines.

    Des manifestants réunis à Omdurman, l’une des principales villes du Soudan, ont réclamé la fin du règne de près de trente ans du président soudanais Omar el-Béchir.

    Les forces de sécurité ont utilisé des gaz lacrymogènes contre les quelque 300 manifestants, pour les disperser, a constaté un journaliste de la BBC.

    Le Soudan est secoué depuis deux semaines par des manifestations de rue provoquées par la cherté des produits de consommation courante.

    Le prix du pain a triplé dans certaines parties du pays, celui du carburant a également augmenté.

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    Omar El-Béchir chez Bashar Al-Assad

    Le Soudan en image avec Olga Alsheikh

    A Omdurman, ville située près de la capitale, Khartoum, les manifestations ont commencé après les prières du vendredi.

    "Liberté, paix et justice. La révolution est le choix du peuple", scandaient les manifestants dont certains sont venus de la mosquée Al Syiad Abderhaman, qui est liée au parti d'opposition Umma.

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    Les manifestants ont réclamé la fin du régime du président Omar el-Béchir, arrivé au pouvoir après un coup d'État en 1989. Les militants l'accusent de mal gérer l'économie soudanaise.

    En 2018, les prix de certaines marchandises ont plus que doublé, tandis que la livre soudanaise, la monnaie locale, a perdu de sa valeur. Le Soudan est privé des trois quarts de sa richesse pétrolière depuis la sécession d’une bonne partie de son territoire, qui a donné naissance en 2011 au Soudan du Sud.

  12. L’interview polémique du président égyptien

    Egypte
    Image caption: Le président égyptien Abdel Fattah el-Sisi

    L'Egypte "demande à CBS de laisser tomber l'interview du président Sisi sur la coopération israélienne ".

    L'ambassadeur égyptien aux Etats-Unis a demandé à la chaîne de télévision américaine CBS de ne pas diffuser une interview du président égyptien Abdel Fattah el-Sisi, a déclaré la chaîne.

    CBS a déclaré que dans l'interview, le président a confirmé que l'armée égyptienne travaillait avec Israël contre les terroristes dans le nord du Sinaï.

    L'Égypte combat un millier de djihadistes affiliés à l’Etat islamique et laisse Israël les attaquer depuis les airs, a indiqué CBS.

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    En février, le New York Times a rapporté que des avions israéliens avaient effectué des dizaines de frappes transfrontalières contre des djihadistes dans le Sinaï.

    En réaction, le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahou a déclaré que son pays ferait "tout ce qui est nécessaire pour se défendre", rapporte l’AFP.

    L’Égypte a signé des traités de paix avec Israël, mais ses relations restent sensibles. L’interview de M. El-Sisi doit être diffusée dimanche et CBS a insisté sur le fait qu'elle avait toujours l'intention de la diffuser.

  13. ''Pas de danger lié aux écrans pour les enfants''

    L'usage des écrans fait de plus en plus partie de la vie quotidienne des enfants.
    Image caption: L'usage des écrans fait de plus en plus partie de la vie quotidienne des enfants.

    L'une des dernière études en date sur la dangerosité des écrans pour les enfants révèle qu'il n'existe pas de preuves que les écrans d'ordinateur et de Smartphone sont nocifs pour les enfants.

    Selon le Collège royal de pédiatrie et de la santé de l'enfant, qui a mené cette étude, il n'y a pas de raisons médicalement valables pour restreindre le temps passé par les enfants devant les écrans.

    L'association de pédiatres, qui a travaillé sur des enfants dont l'âge varie entre zéro et dix-huit ans, déconseille toutefois l'usage des appareils par les enfants une heure avant le coucher.

    Lire la suite de l'article sur bbc.com/afrique/monde

  14. L’UA appelle au respect du verdict des urnes en RDC

    Le chef de l’UA appelle au respect du résultat des élections en RDC

    RDC
    Image caption: Le chef de la Commission de l'Union Africaine, Moussa Faki Mahamat

    Le chef de la Commission de l'Union Africaine, Moussa Faki Mahamat, a appelé au respect des résultats du vote présidentiel en République démocratique du Congo.

    Son tweet est accompagné d'une photo qui montre M. Faki en compagnie du chef de la mission d'observation de l'UA en RDC, Dioncounda Traoré, ancien président du Mali, au siège de l’organisation à Addis Abeba, la capitale éthiopienne.

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    Les observateurs électoraux de l'Eglise catholique de la République démocratique du Congo ont déclaré savoir qui a remporté le scrutin et ont exhorté la commission électorale à publier la "vérité".

    La commission électorale congolaise a déclaré qu'elle "travaille dur" pour que les résultats provisoires soient prêts pour dimanche.

    A lire aussi : Le Conseil de sécurité de l'ONU se réunit sur la RDC

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  15. Le Conseil de sécurité de l'ONU se réunit sur la RDC

    RDC
    Image caption: Le Conseil de sécurité de l'ONU doit se prononcer sur la situation en RDC

    Le Conseil de sécurité de l'ONU tiendra une réunion à huis clos plus tard dans la journée sur l'élection présidentielle en République démocratique du Congo.

    La Conférence épiscopale nationale congolaise (Cenco), qui a envoyé des milliers d'observateurs électoraux dans tout le pays, a déclaré que, d'après les résultats qu'elle avait vus, il y avait un gagnant clair.

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    Elle a exhorté la commission électorale à publier des résultats véridiques et exacts afin d'éviter les troubles politiques.

    Dans leur rapport, les évêques catholiques ont fait état d'irrégularités procédurales généralisées le jour du scrutin.

    Le vote a été reporté à plusieurs reprises depuis 2016, date à laquelle le mandat du Président Joseph Kabila a officiellement pris fin.

  16. Jacob Zuma se met à la musique

    Afrique du Sud
    Image caption: Jacob Zuma est connu pour ses meetings tout en chanson

    L’ancien président sud-africain Jacob Zuma veut enregistrer en avril et en public, un album qui devrait être disponible dans l'année.

    L’album comprendra notamment le fameux titre "Umshini Wami" (Apporte-moi ma mitrailleuse) qu'il entonne régulièrement lors de réunions de son parti.

    A lire aussi : Jacob Zuma au centre d'une nouvelle enquête

    C'est comme un hymne officiel entonné avant l'ouverture des réunions publiques du Congrès national africain. Mais selon Thembinkosi Ngcobo, un responsable culturel du parti, Jacob Zuma, l'ancien président est enthousiaste à l'idée de l'inclure dans l’album, qui sortira avant la fin de l'année.

    Cet album comprendra aussi d'autres chansons de lutte contre l'apartheid. Toutes ces chansons ont joué un rôle déterminant pendant les décennies de bataille contre le régime ségrégationniste imposé par les Blancs à la majorité noire.

    A lire aussi : Retour sur la présidence controversée de Jacob Zuma

    Ces chansons de la lutte anti-apartheid "nous rappellent d'où nous venons et comment notre pays a été façonné", assure Thembinkosi Ngcobo.

    Le responsable culturel précise que Jacob Zuma ne percevrait aucun bénéfice des ventes de l'album. Il explique que l'ancien chef d'état veut simplement "préserver l'héritage de la libération".

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    L'opposition sud-africaine dénonce un projet financé avec l'argent du contribuable. Jacob Zuma a été contraint à la démission en 2018 à la suite de multiples scandales de corruption.

    Il s'est illustré régulièrement lors de meetings politiques en chantant, de sa voix de baryton, et en esquissant des pas de danse très assurés des pas qui suscitent toujours l'enthousiasme de ses partisans.

  17. Les Guinéens pourront avoir 4 épouses

    Guinée
    Image caption: La loi permettra à ceux qui le souhaitent d’avoir jusqu’à 4 épouses

    En Guinée, l'adoption du code civil par les députés en son article concernant la polygamie continue de faire la une.

    Désormais, les Guinéens pourraient épouser jusqu'à 4 femmes sans être inquiétés par la justice.

    Les députés ont adopté le projet de loi qui devra ensuite être promulguée par le président Alpha Condé.

    En Guinée, la polygamie est pratiquée non-officielle puisque le code civil de 1983 encore en vigueur dans le pays l’interdit.

    Idiatou Camara, activiste du réseau ouest-africain des jeunes femmes leaders, estime que la polygamie est source de nombreux problèmes dans les foyers.

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    Kenyatta signe la loi sur la polygamie

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    Il s’agit principalement de la mésentente entre les enfants, les rivalités malsaines entre coépouses et les tensions liées à la succession et à l’héritage.

    En Guinée, les femmes sont majoritairement opposées à cette décision, même si certains législateurs estiment qu’il était temps d’adapter la loi au contexte social guinéen puisque la société reste très influencée par les coutumes et la tradition.

    Les défenseurs de la polygamie et les polygames eux-mêmes se réjouissent de cette décision estimant pour certains que la concurrence féminine dans le foyer ne peut être que bénéfique.

  18. Elections en RDC: la Cenco dit connaitre le nom du vainqueur

    L'archevêque Marcel Utembi et l'abbé Donatien Nshole (de g. à d.), président et porte-parole de la Cenco
    Image caption: L'archevêque Marcel Utembi et l'abbé Donatien Nshole (de g. à d.), président et porte-parole de la Cenco

    La Conférence épiscopale nationale congolaise (Cenco) a déclaré jeudi qu'elle connaissait le nom du vainqueur de l'élection présidentielle en République démocratique du Congo.

    La Cenco (Eglise catholique), qui s'est gardée de dévoiler le nom de celui qui a, selon elle, remporté le scrutin, a demandé à la commission électorale de proclamer les résultats dans "la vérité et la justice".

    Elle avait déployé des observateurs dans les bureaux de vote lors du scrutin présidentiel de dimanche, qui était couplé avec des élections provinciales et législatives.

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    La mission d'observation de la Cenco "constate que les données à sa disposition issues des procès-verbaux des bureaux de vote consacrent le choix d'un candidat comme président de la République", a déclaré son porte-parole, l'abbé Donatien Nshole.

    "Il est important de souligner que les irrégularités observées n'ont pas pu entamer considérablement le choix que le peuple congolais a clairement exprimé dans les urnes", a-t-il ajouté.

    "A cet effet, affirme l'abbé Donatien Nshole, la Céni est appelée, en tant qu'institution d'appui à la démocratie, à publier en toute responsabilité les résultats des élections dans le respect de la vérité et de la justice".

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    RDC: la Cenco recommande le retour de Katumbi

    Il a présenté le rapport préliminaire de la Mission d'observation électorale de la Commission justice et paix de la Cenco, qui affirme avoir déployé quelque 40.000 observateurs lors des élections.

    La Céni avait indiqué mardi qu'elle proclamerait les résultats provisoires au plus tard dimanche.

    Elle a ensuite fait savoir qu'un report de l'annonce des résultats était envisageable en raison de l'ampleur de la tâche à accomplir.

  19. Un pasteur au cœur d'une polémique au Ghana

    Le pasteur Isaac Owusu-Bempah
    Image caption: Le pasteur Isaac Owusu-Bempah

    Des jeunes musulmans en colère ont attaqué une église de la capitale ghanéenne, après que son pasteur a prédit la mort en 2019 du principal imam du pays.

    Un orgue, des fenêtres et des chaises ont été endommagés lorsque les manifestants armés de machettes ont pris d'assaut l'église du révérend Isaac Owusu-Bempah, à Accra.

    L’imam Nuhu Sharabutu, dont la mort a été prédite, a condamné l'attaque de l’église et a lancé un appel au calme, invitant les fidèles fâchés par cette prophétie à pardonner au pasteur.

    Dans un sermon du 31 décembre, le révérend Owusu-Bempah a fait 18 prophéties pour 2019, dont la mort du chef musulman et celle du vice-président du Ghana, Mahamudu Bawumia.

    Lire aussi:

    Rwanda : un prédicateur au cœur d'un tollé

    Des prédicateurs célèbres dans certains pays africains prédisent souvent des événements majeurs, y compris la mort de personnalités publiques de premier plan.

    Lors d'un service religieux en 2016, l'un des plus populaires d'entre eux, le Nigérian TB Joshua, avait prédit la victoire d’Hillary Clinton sur Donald Trump à l'élection présidentielle américaine.

    Moqué et critiqué pour la fausse prédiction, il l’avait ensuite supprimée de sa page Facebook.

    Lire aussi:

    La fausse prédiction de l’évangéliste TB Joshua

    Le Rwanda exige des diplômes aux prédicateurs

    Le Ghana, un pays majoritairement chrétien, n’est pas confronté aux conflits religieux.

    Bien que fortement critiqués dans le pays, les prédicateurs gagnent la confiance de nombreux Ghanéens, dont des hommes politiques et des hommes d'affaires.

  20. Elections en RDC: possible report de la publication des résultats

    Corneille Nangaa lors d'une conférence de presse
    Image caption: Corneille Nangaa lors d'une conférence de presse

    La Commission électorale nationale indépendante a fait état d'un possible report de la publication des résultats provisoires des élections en République démocratique du Congo.

    "Nous ne dormons pas. Nous faisons de notre mieux pour qu'on publie les résultats le 6 janvier. Mais si on n'y arrive pas, à l'impossible nul n'est tenu", a déclaré Corneille Nangaa lors d'une conférence de presse.

    La commission électorale avait affirmé mardi que les résultats provisoires seraient proclamés au plus tard dimanche 6 janvier.

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    Jour de vote en RDC

    Manifestations contre le report des élections en RDC

    Un de ses responsables a déclaré mercredi à l'Agence France-Presse que l'échéance du 6 janvier pourrait être retardée "en raison du comptage manuel des bulletins de vote".

    Les Congolais élisaient dimanche le successeur de Joseph Kabila à la présidence du pays, un scrutin couplé avec des élections législatives et provinciales.